Survivors

Michael Aram Wolohojian

 

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Vladimir Avetissian

 

Homme d’affaires et philanthrope russe, Vladimir Avetissian, est connu pour être le vice-président du conseil d’administration de RUSNANO, où il supervise le suivi des projets. En ces temps de crise économique et faillites en cascade, Avetissian est parvenu à sauver son entreprise de la banqueroute. Il descend d’une famille de survivants du génocide des Arméniens, grâce à la bonté de son arrière-grand-oncle Atanas. Pour Vladimir, la gratitude n’est pas un vain mot. Ce généreux philanthrope soutient un grand nombre de projets en Arménie, la terre de ses ancêtres.

 

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Lucie Abdalian

 

Elue «meilleure actrice » au festival du cinéma arménien et lauréate du Prix Céleste pour l'art contemporain, Lucie Abdalian est une artiste cosmopolite et multidimensionnelle qui détonne. Elle est parvenue là où elle est grâce à son amour pour son travail. Enfant de la guerre civile libanaise expatriée à New York, elle a su recréer un univers autour de la beauté de l’art.  

 

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André Manoukian

Pour son père, son prénom c’est Antranig, en mémoire du patriarche de la tribu des Manoukian, ancien fédahi qui combattit dans les rangs du général éponyme. Pour ses fans, on le connaît sous le surnom affectif de Dédé, l’animateur vedette de shows télévisés. Détenteur d’un patrimoine génétique à 100% arménien - la mélancolie en moins – ses origines lui collent à la peau.
Pianiste et compositeur en quête d’un nouveau passé
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Papken Injarabian

Je m’appelle Elisabeth Eaker, née Injarabian. Mon père s'appelait Papken Injarabian il est mort à 104 ans en 2010. Il était paraît-il le rescapé du génocide arménien le plus âgé de France.
Cette peur pourtant sublimée, était enfouie au fond de lui
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Philippe Isorce

Je suis fier de mes racines arméniennes. Le peuple arménien est un peuple courageux, persévérant, généreux et digne.
"Je suis fier de mes racines arméniennes".
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Carole Tarpinian

Mon arrière-grand-mère maternelle a été laissée pour morte et retrouvée à l'hôpital américain de Karpout (Kharberd, l’actuelle Elazig en Anatolie orientale) par ma grand-mère qui y travaillait comme infirmière.
"Ma plus grande réussite est d'avoir une descendance et de lui transmettre notre histoire".
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